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10 janvier 2006 2 10 /01 /janvier /2006 19:57

Séries

Parmi les séries que j’ai visionnées : (assistée dans mes choix par « Miroirs obscurs de Martin Winckler » éditions Au Diable Vauvert, par matmat)

 

San Ku Kaï (sisi pourquoi pas… on ne présente plus cette série kitsch de space opera où les moyens étaient si maigres que les décors et les costumes se barrent en sucette au fur et à mesure des épisodes)

 

Friends (là l’incontournable série des adulescents comme on dit, les trentenaires grégaires… ca marche bien sûr parce qu’on a tous des bandes de potes… on a tous des gens plus ou moins proches…

 

Farscape sorte de space opera fantastique où un humain de notre monde de notre poque se retourve à la faveur d’un vortex dans une autre dimension… il atterrit dans un vaisseau organique occupé par diverses races de tous les coins de l’infini toutes plus bizarres mais attachantes les unes que les autrs. L’étrange équipage de forçats en fuite (6 au total) navigue à la recherche des mondes d’origine de chacun.

Extra !

Vu la première saison attends la seconde

 

Babylon 5 vieille série de space opera.. Babylon 5 énrome station dans l’espace dernier espace de « pais » et collaboration entre les races. Equilibre fragile, jeux de diplomaties entre les espèces.

Très bien pour la première saison.

 

Star trek

N’ai pas aimé les nouvelles générations.

 

Les sentinelles de l’air – vielle série de marionnettes, groupe d’intervention parallèle… marrant. A inspirer une parodie hilarante « Team america » pour le cinéma l’année dernière.

 

 

 

Six feet Under par les studio HBO (ui ont aussi produits « Sex and the city » que je n’ai toujours pas vue) Famille d’entrepreneur pompes funèbres

 

Dead like me Pitch intéressant puisqu’il s’agit d’une jeune adulte de 18 ans à peine ayant arrêté ses études et forcée par sa mère à trvailler en rebellion qui meurt un midi à sa pause déjeuner tuée par la lunette des toilettes de la station MIR

Elle devient faucheuse d’âme et entre dans une sorte de bande de faucheurs d’âmes… qui finissent par fonctionner sans en avoir l’air comme une famille. Vu 6 épisodes

 

Un agent très secret sorte d’agent bionique créée à partir du cadavre d’un homme d’une quarantaine bedonnante mou

Bof très bof – vu 5 épisodes

 

 

Zwilight Zone un truc complètement énorme, très vieux en noir et blanc… tout le monde à l’air de connaître je n’en avait jamais entendu parler avant de lire martin Winckler. Une série dissertant d’une quatrième dimension, celle du paranormal… et sous ce prétexte, chaque épisode aborde un sujet, une réflexion plus ou moins philosophique. Chaque épisode est un univers et une histoire en soi.

 

Oz toujours par HBO une série trash qui se déroule en univers carcéral. Très très bien faite. Visuellement intéressante. La prison outre ce qu’on peut en dire (surtout en amérique) est un lieu clos, sorte de microcosme et là tout y est les tendances sexuelles, les drogues, les religions, les mafias et les luttes de pouvoir, la corruption…)

 

Desesperate housewifes saison 1 parce qu’il ne faut pas être sectaire et savoir s’adapter. Mes collègues sont toutes fans… alors on s’y met. Je trouve cette banlieue bourgeoise aseptisé tout à fait intéressante. Avec ce système de la narratrice morte.. et tout

 

Alias série d’espionnage dont le personnage principal est une toute jeune femme surdouée de l’espionnage et du contre espionnage dont le père est un agent (dont on n’est jamais sûr de la totale intégrité) des gentils (les américains – et le pitch au générique des premières saison parle en effet de gentils et de méchants…) et la maman une agent des méchants russes.

Proche de la famille : le foncièrement gentil michaël Vaun, le méchant ambiguë, le génie déjanté marginalisé complexé… mad professor pathétique

Très très bof

 

 

Les experts Pensais pas aimer mais j’aime bien. Police scientifique. Résolution des affaires seulement par le biais scientifiques, analyses

 

 

Le prisonnier. Série culte où chaque épisode est un univers en soi. Prélude de Truman show où me fameux prisonnier est soumis à chaque épisode à une nouvelle mise en scène plus vraie que nature destiné à le faire craquer

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31 décembre 2005 6 31 /12 /décembre /2005 21:01
Rien à signaler à l'horizon
de nos fausses inquiétudes
Pouy (Jean Bernard)
Spinoza encule Hegel
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30 décembre 2005 5 30 /12 /décembre /2005 14:58
Pour l'instant, j'utilise dans mes modestes recherches de vocabulaire :

Le Robert (parce que je suis sensible au travail d'ethymologie et à l'amour de la langue qui en sont l'apanage, véhiculés médiatiquement par Alain Rey sur France Inter fut un temps le matin avec son "mot du jour", dans "Magazine littéraire"

Lexilogos

pour le simple dictionnaire français : sur la page d'accueil vous descendez et choisissez francais
Attention ! lorsque vous tapez le mot et "entr" sans choisir la source désirée il prend systématique le Trésor de la langue française et ouvre une nouvelle fenêtre (ne soyez pas surpris) - je ne vous prend pas pour des déhérités du bulbe, juste moi j'ai été déroutée au début.

Mais ce site -portail est une vraie mine !!!! Régalez-vous
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1 janvier 1970 4 01 /01 /janvier /1970 01:00

Sex shops : une histoire française
Baptiste Coulmont
Editions Dilecta


Le Livre :
Une couverture est attirante, vive... On pourrait presque croire que c'est un roman....
Et pourtant non c'est un documentaire !

Le pitch :
Donc étude sur les sex shops en France... les débuts à la fin des années 60 et le glissement de librairies libertines à sex shop... La façon dont pour protéger la jeunesse on oblige au camouflage des vitrines et comment ça a contribué à exciter les fanstasmes.
Pis une fois, l'objet décrit tout le sociologique est intéresssant. Avec mêeme sur la généralisation de l'utilisation du sex toy en dehors du sex shop, à la maison.
       Les extraits d'enquête qualitatives sont parfois truculents.

        L'auteur
         Baptiste Coulmont est normalien agrégé en sciences sociales et docteur de l'Ecole des hautes études en sciences sociales, nous informe le quatrième de couverture. Et personnellement, je trouve, qu'on est fort aise... de savoir que ce sujet est traité par quelqu'un de sérieux. Ehéhéhéh. N'empêche y a pas de raison ! Bon il en existe sûrement d'autres je n'en doute pas mais celle-ci vient de sortir et elle est d'une lecture aisée, voire agréable.

Je recommande. En plus, effet dasn les transports en commun garanti !


Je lis
Le Complexe de l'ornithorynque de Jo Hoestland

et

Ceux qui sauront de Pierre Bordage

J'écoute Hot Chip et Wax Tailor

Je regarde toujours Jérico et FBI
En préparation : welcome my captain (une vieille série)


       Hier soir, chouette moment au Quincampe (rue quincamoix) avec la bibliobsédé avec un thé à lamenthe pour lui et un thé bulgare pour moi (je fomente... je prépare ce que je vous dirai bientôt). Perspectives pros, voyages et même longuement le mien et un peu le sien raté à Florence où sa douce s'est finalement rendue avec son amie estropiée mais heureuse. On se raconte nos déboires respectifs professionnels et sentimentaux. La lumière dans Paris en ce début de soirée est extraordinaire.

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