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16 septembre 2007 7 16 /09 /septembre /2007 18:00

Gunzig
10 000 litres d’horreur pure : modeste contribution à la sous culture
Au Diable Vauvert

 
 

J’ai lu Gunzig quand il a publié Le plus petit Zoo du monde, Au diable Vauvert aussi. Des nouvelles basées sur des histoires d’animaux.. ; qui n’étaient bien sûr que des « métaphores ». Cyniques ou juste acides mais amusantes.

J’avais du coup voulu voir ce qu’il retournait de son premier opus, qui était un roman et dont tous les critiques disait que c’était son meilleur Mort d’un parfait bilingue.

Je me souviens nettement d’avoir fermé le livre, contente. Je me souviens d’avoir expliquer que je le trouvais bon. Je ne me souviens absolument plus pourquoi, et bim ! Je ne retrouve pas les notes.

 Dans celui-ci, une préface.

 J’ai commencé de puis Au dessous du volcan  d’après le conseil de AntiGirafle et la préface commence ainsi « J’aime les préfaces. Je les lis. Parfois, je ne vais pas plus avant, et il est possible qu’ici, vous non plus, n’alliez pas plus avant. Dans ce cas, cette préface aura manqué son but, qui est de rendre l’accès de ce livre un peu plus facile. Toutefois, lecteur, ne considérez pas ces pages comme un affront à votre intelligence. »

Dans la préface, Gunzig déroule histoire avec les films d’horreur. Il fait la liste des films qui ont marqué son imagination. La sous culture ?

Ce livre est une fiction. 5 étudiants qui viennent de finir leurs examens et partent en week end ensemble.

Les courts chapitres portent le nom du personnage qui sera l’espace des quelques pages le point de vue, le point de narration. Le narrateur est omniscient mais se focalise à chaque chapitre sur un des personnages. Une bimbo, un beau gosse qu’on pense superficiel, le couple de gens bien ceux qui veulent se caser avoir une vie rangée qui sont bien pensants, le type puceau raté bourré de complexes qui ne voit pas le bout qui subit et le sait.

Et en route (c’est d’ailleurs ce que dit le personnage de Marc) en route pour un récit reprenant les « codes » classiques de l’horreur.
Le livre est ponctué d'illustration de Bmanquet (auteur de Bd que je qualifierai un peu grossièrement underground... des traits souvent gros un peu "gores" qui convient fort bien à souligner le côté démenbrement, vision d'horrur monstruosité. Ces images ponctuent les chapitres les annonçant plutôt que les clores ou les ilustrer. Contente de le trouver là sur le papier bon marché de Vauvert)

 
 
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