31 décembre 2008
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Danila Comastri
Cave canem
Chez 10/18 - Grands detecives. Une collection de romans à enigmes, romans policiers, polars, venus de tous les pays. Le concept de cette collection qui fit fondée et dirigée jusqu'à sa récente mort par Zylberstein :
des séries de romans par un auteur, avec un héros récurrent. Toutes les époques, tous les pays.
Ellis Peters et son Cadfaël (moine anglais du moyen âge), Napoléon, Nicolas Le Floch (l'enquêteur français sous le règne de Louis XV)...
Là C'est le premier des volumes des "aventures" de Publius Aurélius, à Roma au Ier siècle après Jésus-Christ.
Dans ce premier "épisode", le prologue nous explique la génèse. Un jeune hommme de 16 ans ami du fils du serviteur de son père, battu au même titre que les serviteurs par un père et percepteurs jaloux de ses capacités intellectuelles et déductives. Puis meurtre du gestionnaire des affaires du père et décès lors de libations du père ivre. Il ser retrouve en même temps qu'il prouve l'innocence du gestionnaire et la culpabilité de percepteur, le dominus.
En fait, dans ce volume (et j'imagine que c'est un bon paradigme de ce que l'on peut ettandre des autres épisodes de la série) l'auteur nous abreuve de vocabulaire romain...
Je lis également une autre série de la collection 10/18 - grands detectives
Giulio Leoni
La conjuration du Troisième Ciel
Cave canem
Chez 10/18 - Grands detecives. Une collection de romans à enigmes, romans policiers, polars, venus de tous les pays. Le concept de cette collection qui fit fondée et dirigée jusqu'à sa récente mort par Zylberstein :
des séries de romans par un auteur, avec un héros récurrent. Toutes les époques, tous les pays.
Ellis Peters et son Cadfaël (moine anglais du moyen âge), Napoléon, Nicolas Le Floch (l'enquêteur français sous le règne de Louis XV)...
Là C'est le premier des volumes des "aventures" de Publius Aurélius, à Roma au Ier siècle après Jésus-Christ.
Dans ce premier "épisode", le prologue nous explique la génèse. Un jeune hommme de 16 ans ami du fils du serviteur de son père, battu au même titre que les serviteurs par un père et percepteurs jaloux de ses capacités intellectuelles et déductives. Puis meurtre du gestionnaire des affaires du père et décès lors de libations du père ivre. Il ser retrouve en même temps qu'il prouve l'innocence du gestionnaire et la culpabilité de percepteur, le dominus.
En fait, dans ce volume (et j'imagine que c'est un bon paradigme de ce que l'on peut ettandre des autres épisodes de la série) l'auteur nous abreuve de vocabulaire romain...
Et par ailleurs, je mets au programme de voir la série Rome, dont les voyageurs enthousiastes me disent qu'ils apprécient. Il s ajoutent même que ça vaut le coup rien que pour la générique.
Je lis également une autre série de la collection 10/18 - grands detectives
Giulio Leoni
La conjuration du Troisième Ciel