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10 septembre 2006 7 10 /09 /septembre /2006 11:50
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29 août 2006 2 29 /08 /août /2006 20:12

Stifter,  Narrenbrug = Le château de fous »

 

Littérature autrichienne

Schnitzler « Mademoiselle Else »

Jeune fille en vacances dans un hôtel. A la première personne. Pensées tourmentées d’adolescente romantique. Montagnes et forets sombres – romantisme des paysages. Mais c’est ce personnage qui predns toutes la place. Son père est un avocat d’affaires mais qui joue et est endetté. Es parets demandent à leur fille de demander de l’argent à un vieil ami de la famille qui en vacnaces dans le même hotel que Else. Else se sent belle et hésite sur l’utilisation qu’elle peut faire de sa beauté quand arrive cette requête de ses parents. Tous les affres de la jeune fille qui se voit contrainte de demander de l’argent pour son père et se retoruve tant par vanité que par volonté dans la position de « se vendre ». L’homme lui demande en contre partie l’autorisiation de la « voir » elle le comprend comme « voir nue »

Elle décide de se montrer nue dns le salonde l’hotel puis de mourir.




Hoffmannsthal, Higo von « Lettre à Lord Chandos »

Longue lettre d’un homme écrivain à son ami qui s’est visiblement enquis de son manque de productivité.
Longu e lettre où il mentionne les Anciens (un c$oté Humanisme) et surtout fait état d’un état d’esprit…. Attention au sensuel, à la nature



Karl Kraus, « La littérature démolie »

Recueil de textes courts critiquant la société autrichienne.

Cf. le procès de mœurs

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27 août 2006 7 27 /08 /août /2006 20:07

Eternal sunshine on the spotless mind
Film concept où l’on peut effacer les souvenirs que l’on a de quelqu’un et de sa relation à cete personne.

Des histoires qui s’entremêlent dont une au centre….

 

« Cuisine américaine »
Restaurant quatre étoiles dirigé par Eddy mitchell où débarque un américain.
Grande cuisine
Américain sans permis de séjour.


« Merci Pour Le Chocolat » De Claude Chabrol Avec Isabelle Huppert, Jacques Dutronc (2000).avi

 

 

« Beignets de tomates vertes »

 

Le chocolat (avec Binovhe et depp)

Une mère et sa fille qui courent les continents s’installent dans un de ces petits villages obtus où les malheurs sont refoulés et exacerbés tout à la fois. Elle tente d’ouvrir une chocolateirie.

Le tout est très féérique au début.

Intervention des manouches des fleuves ui sont detestés autant que la chocolatière qui a excité les jalousies des frustrés parce que elle assume et vend du bopnheur de la volupté

 

 LA Grande Bouffe (Ferreri)

Un film torturé où un groupe de vieux ami abandonnent leurs vies sans annoncer où ils vont pour s’exiler ansemble et avec des femmes de mauvaise vie et une institutrice dasn une maison reculée où ils vont faire trois jours de libations monstrueuses, orgies d’excès volontaires… où ils vont laissé un par un leur vie.

 

12 aout

 Une Affaire De Goût - Bernard Giraudeau, Jean-Pierre Lorit, Charles Berling - Bernard Rapp - 2000.avi

Histoire très angoissante. Un jeune homme choisi pour être gouteur d’un homme d’affaries très riche et influent.

Il se prend au jeu de cet homme qui lui fait accumuler les expériences et qui joue psychologiquement avec lui lui disant qu’ils se ressemeblent de plus en plus et que c’est ce qui le rend plus compétent dans son rôle de gouteur.

Se coup ede son entourage pour entrer dans une dépendance, dans un rapport très fort à son employeur. Sur fonds d’art culinaire

Fini  mal pour l’homme d’affaire

11aout

« Pillow Book »
Peter Greenaway
Fille dont le père peignait usur elle en réctant le passage de la bible où dieu faconne et signe de son nom
Elle décide de trouver des hommes qui écriront sur elle. Affres avant de le trouver.
Ecrivain calligraphe.
Esthétiquement beau entre ériture et peaux
Elle dit qu’elle aime les odeurs de papiers et de peaux. Les couleurs et les calligraphies
Les chapitres avec un écran transparent calligrpahie
Des petits écrans dasn l’écran.
Elle écrit le premier des treize l ivres sur lui il se déshabille devant l’éditeur pour le convaincre



« Les visiteurs du soir » Marcel Carné

Noir et blanc

"Or donc, en ce joli mois de mai 1485 Messire le Diable dépêcha sur terre deux de ses créatures afin de désespérer les hommes..." pouvons-nous lire dans le grimoire qui sert de générique au film.

Les deux créatures en question, Dominique et Gilles, ont pris l'apparence de deux ménestrels et chevauchent jusqu'au château du baron Hugues. Ils apprennent de la bouche du bourreau, qui n'ayant pas de "client" est en train de pêcher la grenouille dans les douves, que le baron va bientôt marier sa fille Anne au chevalier Renaud et qu'il a organisé un grand banquet. Anne et Renaud : deux victimes de choix en perspective...



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23 août 2006 3 23 /08 /août /2006 19:40
la solitude
Parisienne

et le summun de la peur, du froid et du mal.

Pourtant le bonheur en toile de fond.
On s'attend toujours à ce qu'il se fasse la belle.
Et pourtant il est toujours là
Il s'impose petit à petit, ce bonheur.
Pourquoi on peut mettre tant de temps à percuter ?



Juste une soirée ou plutot deux
Juliv et Chat fou, le nain qui hurle...
Heureusement qu'ils sont là. ET désolés que vous ayez été là...

Voyage en suisse
des tensions
mais j'ai offert ce week end une rose blanche à un homme, et je trouve ca émouvant
10 aout 22h58 message "La rose illumine toujours ma chambre et libère d'autant le coeur"

Prende l'avion sur un coup de tête - juste beau !

LE début de la fin du mal. Je vais me battre.

 

(...)
Quelques jours à Lyon
Je rencontre une Florence débordante
Rhésus est installé avec sa douce
R. est pacsé et sauvage
Balade sur les quais
(...)

La fin de  cette relation approche, il l'a dit : trois ou six mois jamais plus.

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5 août 2006 6 05 /08 /août /2006 19:47

Jihad Darwiche ; David B.

Sagesses et malices de Nasreddine, le fou qui était sage.

 

Les tigres

 

            Un matin, très tôt, Nasreddine était occupé à jeter du sel tout autour de sa maison.

- Mais que fais tu, Nasreddine, avec tout ce sel ? lui dit son voisin.

- J’en mets autour de ma maison pour éloigner les tigres.

- Mais il n’y a pas de tigres ici.

‘ Eh bien, c’est la preuve que le sel a fait son effet !

 

Rien

Un jour de marché, Mustapha rencontra son mai Ali.

- S’il te plaît, Ali, peux tu m’aider à transporter mes bagages jusqu’à ma maison ?

- Bien sûr ! Mais que me donneras tu en contre partie ?

- Rien !

- D’accord , dit Ali.

Une fois arrivés chez Mustapha, Ali lui dit :

-Donne-moi maintenant mon salaire.

- Mais, Ali, rappelle-toi, lorsque tu m’as demandé ce que je te donnerai, je t’avais répondu : « rien ».

- Eh bien, je veux ce ‘rien’ que tu m’as promis.

-Mais c’est impossible !

-Alors, tu es un voleur.

Les deux hommes se disputèrent, et décidèrent fianlement d’aller exposer leur problème à Nasreddine Hodja.

Nasreddine écouta les deux hommes et se tourna vers Ali :

-Soulève le livre qui est devant toi et dis-moi ce que tu vois en dessous.

- Rien !

- Eh bien, prends ce rien et va-t-en.

 

Le partage

Un jour, la femme de Nasreddine dit à son mari :

-La vie dans le village est devenue intolérable : la moitié des gens est très riche, pendant que l’autre na pas de quoi manger. Si toi, qui es respecté de tous, tu arrivais à les convaincre de partager leurs richesses alors, tout le monde pourrait vivre  heureux.

-Tu as absolument raison, femme, ‘y vais de ce pas.

Le Hadja quitta sa maison et ne revint que le soir, complètement épuisé

-Alors ? l’interrogea sa femme.

- Alors, j’ai réussi à convaincre les pauvres !

 

 

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30 juillet 2006 7 30 /07 /juillet /2006 19:23

 Paradise now
film israelien ou plaestinien

 

 

            Date de sortie : 07 Septembre 2005 

Réalisé par Hany Abu-Assad

Avec Lubna Azabal, Hiam Abbass, Kais Nashef

Film français, néerlandais, palestinien, allemand.

Genre : Drame

Durée : 1h 27min.

Année de production : 2005

Titre original : Paradise Now

 Deux amis d'enfance palestiniens, Khaled et Saïd, sont désignés pour commettre un attentat suicide à Tel Aviv. Engagés volontaires depuis plusieurs années dans une faction, ils sont liés par un contrat moral qu'ils ne peuvent ou ne veulent rompre. Ils passent une dernière soirée avec leurs familles sans pouvoir toutefois leur dire adieu. Le lendemain, munis de leurs ceintures d'explosifs, ils sont conduits à la frontière. Mais l'opération ne se déroule pas comme prévu...



Fanfan la tulipe
version 2003
avec vincent perez penelope cruz didier bourdon et compagnie
pas très bon…

 

 

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17 juillet 2006 1 17 /07 /juillet /2006 18:59

Musée d’Art Moderne et Contemporain
Rue des Vieux-Grenadiers 10
1205 Genève
Tel. +41 (0)22 320 61 22
Web: www.mamco.ch

 

Centre de la Photographie

Centre d'Art du Grütli
Rue du Général-Dufour 16
1204 Genève
Tel. +41 (0)22 329 28 35

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10 juillet 2006 1 10 /07 /juillet /2006 06:48

Poétique de la ville : 
Paris, signes et scénarios

"Troisième volet d'une exploration thématique des collections photographiques confiées à l'Etat, cette exposition fait suite à Figures de l'acteur et Images de marques, proposées respectivement en 2004 et 2005. Elle interroge le discours sur la ville en privilégiant la notion de distance ou d'attitude du photographe face aux espaces urbains."

ESt ce que tout le monde a bien saisi 
non parce qu'on vous dira rien d'autres...

Jeu de Paume - Hôtel de Sully
62, Rue Saint-Antoine
75003 Paris  Plan d'accès

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1 juillet 2006 6 01 /07 /juillet /2006 19:29

philari-012.jpg
Le 1er  juillet
On marie les Ambassadeurs
Il fait beau
C'est oecuménique
c'est délire
c'est multiple

Classe, et bonne ambiance.






Sortie de la cérémonie, on ne voit ps pourquoi on ne chanterait pas l'Internationale après tout.
Les mariés sont beaux ! Pas que ce soit étonnants hein ?! Mais juste c'est merveilleuphilari-005.jpgx.
On a du temps avant le cocktail, alors c'est bueno pour les jeun's un bar... les encravatés engoguette y a pas de raison !!!
Le lieu de réception est magnifique un grand parc où nous prenons le cocktail, une salle très chic où nous dînerons.

De table en table j'ai eu de belles conversations.
Le Papa du marié (que je ne connaissais pas contrairement au papa de la mariée que j'avais déjà croisé non sans plaisir) est un GRAND Monsieur ! enfin moi j'ai trouvé. Impressionant !
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3 juin 2006 6 03 /06 /juin /2006 22:12

Ma version spontanée

J'ai traversé une journée pétillante et dense et j'ai rêver, vu des visages, recu des sourires et recu des compliments. Féliciter deux êtres pour un engagement qui me semble en ce jour de juin 2006 tellement étranger. Et puis j'ai convoité (un visage, un sourire, une aura, un charisme, un être... et puis il faut le dire des fesses - tout ca un seul). 
Tard, à l'heure où tant ont abandonnés à Morphée les droits sur le réel, j'ai voulu vaincre la face nord de la religion, en l'espèce l'église vendéenne. 
Au moment de redescendre difficilement,  j'entends "Saute je te rattrape ! Si tu ne prends pas le risque, tu ne sauras jamais si tu peux me faire confiance !" Je ne sais comment vous dire la décharge de ces mots. Ca me frappe mais je ne le
Ca semble tout fait ? et pourtant !!! Comment un être pouvait-il prononcer à ce point LES mots qui parlent à mon inconscient (parce que j'ai compris un an plus tard la justesse de ces mots pour mon coeur mon âme mon fou)


Version prosaïque

Un mariage comme je les aime : du monde beaucoup (la famille pour faire du bien, pour se voir régulièrement pour faire le bilan - des inconnus pour stimuler un peu la fibre séduction ou simplement sociable), de l'ambiance.

Vous allez trouver ca banal : je l'ai vu, je me suis dit "je le veux". Ca m'arrive. 

Donc je le vois, je le veux. Il me regarde, il en me voit pas. 
Pas très grave - il fait beau, j'ai une cousine à écouter et à saouler de mes mots. 

Dans la nuit, de défi en petites folies, ce fut magique . Un peu magique, pas mal énergique. De la folie en barre
Il finit par me demander mon numéro et je rigole, je rigole franchement nettement - il ne se démonte pas. A quoi cela va-t-il bien lui servir ?
Et pourtant dès le surlendemain ca lui sert !!!
Et moi de tomber sur mes fesses !!!
Aucune raison de pas remettre ça ! Un rdv rue de lappe un vendredi soir il viendra pas seul des fois que...
Y a un truc chez lui qui m'attire autant que ca m'intrigue...
C'est que le début
La suite ca va
pulser

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