Quoi vous trouvez ca ringard ?!
Je ne vous parle pas des livres lus, non.
Je ne vous parle pas des pièces de théâtre retransmises un temps sur France Culture le soir en weekend.
Oui je me souviens de bosser dans ma cage à lapin (le tout premier appartement) à clermont Ferrand excentrée au dessus du garage renaud. Ma chaîne me diffusant pendant que je me cuisine un croque monsieur poele ou des knackis (j faisais pas forcement dans l'authencité culinaire ou la diversité à l'époque). Je me souviens d'écouter des grandes tragédies en faisant de sfiches de révision, en faisant des revues de presse pro. Je me souviens de ce jour où ce fut une pièce que j'affectionne La guerre de Troie n'aura pas lieu
On entend les acteurs et leurs déplacements sur le plateau, on entend les bruits de la salle et on sent comme il nous manque la dimension visuelle. C'est chouette d'entendre les acteurs, d'entendre une pièce chez soi. Il manque quelque chose, si ces acteurs là jouent de cette façon là c'est qu'ils sont sur un plateau avec des décors, des costumes, des positions sur le plateau, qui sont, je l'imagine ainsi, pensés voulus.
Non je vous parle des pièces écrire et réalisées pour la radio.
Moi je me souviens d'un été où France Inter diffusait un feuilleton "Le perroquet des Batignolles" Feuilletonesque réussi. un mélange de Tardi quand il narre les enquêtes de Adele Blanc-Sec, de Queneau avec zazie, le parigot titi, un arrière goût de musette et de petit blanc... vous savez un air pétillant et populo...
France Culture propose toujours un programme intitulé "Fictions"
Bref, vendredi samedi et dimanche pour ceux qui
- sont à paris
- ne sont pas au Mondial du Deux roues (où je tenterai peut-être d'aller choper bertrand tout de même)
- ne sont pas enchaînés aux écrans de retransmission du rugby (enfin faudrait pas déconner parce qu'il y a tout de même ce week end Angleterre, France/georgie et ireland je ne sais quoi)
Les Radiophonies
à la Maison de la Poésie de Paris
Passage molière
157 rue Saint-Martin
dans le 3e
Le programme en ligne
et moi j'y passerai