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11 août 2007 6 11 /08 /août /2007 13:52
Jean-Jacques Pauvert
 L'obsédé de l'édition
 
Article publié le 11 Août 2007
Par Michel Braudeau
Source : LE MONDE
Taille de l'article : 1067 mots

Extrait : Grâce à Jean-Jacques Pauvert le « marquis de Sade » est sorti de l'enfer : il a été le premier à en publier l'intégrale, au prix de mille procès. A suivi une longue guerre contre les bien-pensants. Sur la côte du Lavandou, entre la rade de Toulon et le golfe de Saint-Tropez, où fleurissent dès les beaux jours pompiers et pyromanes, un allègre octogénaire, sage comme celui de Jean de La Fontaine, continue de planter et repiquer les pensées et les roses de sa longue carrière d'incendiaire.
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11 août 2007 6 11 /08 /août /2007 12:39
Si vous connaissez les Space invaders

http://www.notsonoisy.com/  
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11 août 2007 6 11 /08 /août /2007 12:07

en direct live de mes périgrénations vaudoises, je vous souligne une morceau lu hier dans le train qui m amenait vers la suite de mon destin... voir les choses se poser ou non ...
Il faut me pardonner les fautes de frappe - les claviers sont légèrement différents ici !!!! Très légèrement - juste ce qu il faut pour galérer un poil

Donc, lu dans le livre dont je parlais à propos des anthologies
Le roman francais contemporain
anthologie d etude et questionnements rediges sur ... comme son nom l indique
La premiere contribution fait une sorte de panorama intelligent . Il dégage deux types des "résistances" et des "disparitions". Mais j y reviendrai.
en attendant, la naissance du monologue intérieur...
p.23
"Monologique, le roman contemporain l est souvent, presaue nécessairement pourrais je dire. On sait que le monlogue est devenu au XXe siècle l une des grandes matrices du roman moderne : monologue intérieur inventé par Edouard Dujardin mais magnifié par James Joyce et Virginia Woolf, immense discours du narrateur proustien, monologue rageurs et desesperés du Bavard de Des Forets, des parleurs beckettiens et des monomaniaues de Thomas Bernhard. "
Il attribue donc la paternité du monologue intérieur à un autre que Tolstoï, venant ainsi confirmer  les dires du préfacier de recit de la journee d hier


Peu de gens connaissent ou reconnaissent le caractère fondateur du texte de Tolstoi ? ou est ce aue finalement comme souvent les choses sont plus floues moins de l ordre du moment de l invention... plus en mouvements de fond ?

Il continue :
Cette forme temoigne du basculement du roman du côté de la narration à la premiere personne, et installe au poste de commandement narratif un narrarteur non fiable, réduit à son point de vue sur le monde, point de vue incomplet et biaisé. Le monologue est donc apte à signifier la solitude des individus, la coupure avec les autres, mais aussi, selon la belle formule de Nathalie Sarraute dans L Ere du soupcon, il traduit et trahit "this terrible desire to establish contact"

a creuser :
Dujardin
Nathalie Sarraute (dont je n ai lu que celui offert par Hermine.... mais dont je commence a percevoir que je suis passe a cote de quelque chose)
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7 août 2007 2 07 /08 /août /2007 20:40

Tolstoï
L'histoire de la journée d'hier
(traduit par andré Markowicz)
chez un éditeur nommé Alinea


La préface bien dodue en regard du texte :

24 mars 1851
" écrire la journée d'aujourd'hui avec toutes les impressions et les pensées qu'elle engendre"

a été erçu par quelques chercheurs perspicaces comme la première ébauche de monologue intérieur de l'histoire de la littérature, une forme que Joyce mènera à l'accomplissement que l'on sait.

procès au nom du réalisme aux tendances formalistes et modernistes
Pourtant loin des querelles entre les deux basées sur l'argument tenu pour falacieux par le préfacier de plagiat de l'art ancien, le texte de Tolstoï contient "une notion fondamentale dans la théorie littéraire russe, celle du "sujet"
Premier monologue intérieur de la prose romanesque, première tentative de créer une oeuvre d'art littéraire sans sujet

Myopie egocentrique (critique de Chklovski "Dnievnik" (journal) )?
"Le premier Tolstoï est mû essentiellement par des motivations autobiographqiues liées à des préoccupations socratiques : se connaître mieux pour travailler à son perfectionnement moral...."


à creuser : éditeur Alinea
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7 août 2007 2 07 /08 /août /2007 20:39
Lu ce matin la préface de 
Mozart en verres miroirs
une "anthologie" présentée par Sterling 
En parlant donc de ce qu'il s'attacher  définir : LE CYBERPUNK
"Ce mouvement n'a pas tardé à être reconnu et à se voir affublé de nombreuse étiquettes : Radical Hard SF, Techno-marginaux, Vague des Années quetre-vingt, Neuromantiques, Clan des verres miroirs"
                                                                       
petite note pour les non lecteurs de SF : l'une des euvres majeures de ce qu'on appelle le cyberpunk est - il me semble- Neuromancien de Gibson...

Plus loin, après un laïus très bon (mais si très rébattu) sur le caractère enfermement et déprimant des étiquettes en général, en littérautre et en Sf en particulier "il s'ensuit que l'auteur typiquement cyberpunk n'existe pas ; cette personne-là appartient au monde platonicien des idées pures"), il écrit nettement : 

"Dans ce livre, j'espère présenter un panorama complet du mouvement cyberpunk, depuis ses premiers borboygmes jusqu'à l'état présent des lieux"
              
Si je me fends d'une recopie de ce passage c'est que ca m'a renvoyer à la notion d'anthologie que vous retrouverez là


Définition qu'il propose par bribes :
produit de l'univers des années qautre-vingt, produit bien détermié dont les racines plonge "profondement dans la tradition - vieille de soixante ans - de la science-fiction populaire moderne"
"Venus de la New Wave : le punch zonard de Ellison ; la chatoiement visionnaire de Samuel Delany ; la dinguerie en roue libre de Norman Spinrad et l'esthétique rock de Michael Moorcock ; l'audace intellectuelle de Brian Aldiss ; et toujours, J. G. Ballard"
Plus hard : perspective cosmique d'Olaf Stapledon ; les préoccupations scientifiques/politiques de H.G. Wells ; les extrpolations acérées de Larry Niven, Poul Anderson et Robert Heinlein.

Il cite Farmer, Pynchon, le beatnik Bester (dont je vous avais parlé sur l'homme démoli, Dik
                           Ellison, Moorcock (dont j'ai commencé sans succès le cycle d'Elrich de l'héroïc fantasy) , Aldiss et Ballard, wells spinrad ok. 
Mais je ne connais pas et je vais donc m'y atteler :
Samuel Delany
Larry Niven
 
Vous trouverez sur le site de l'excellent webzine Cafard cosmique,
                                                                                        une définition de Cyberpunk



Liens à faire :
          New Wave - mouvement punk
          Heroïc Fantasy
          Ma note sur Ellison
          Bester L'homme démoli



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7 août 2007 2 07 /08 /août /2007 20:26

Mozart en verres miroirs (présenté par Sterling)
                            je vous en parlais sur la
préface de Sterling 

La première nouvelle est signée 
GIBSON 
          un des maîtres du mouvement cyberpunk, dont l'oeuvre majeure est encore
Neuromancien
mais dont je vous conseille très fortement Identification des schémas, publié chez Diable Vauvert et dont je vous avais parlé pour ceux qui y étaient déjà en 2005.

La nouvelle s'intitule 
"Le continuum Gernsback"

"Il arriva accompagné d'une jeune femme très élégante, Dialta Downes, qui (...) était, de toute évidence, une autorité en matière de pop art. Aujourd'hui, avec le recul, je l'imagine volontiers entrant aux côtés de Cohen avec au-dessus de sa tête une enseigne au néon en rain de clignoter en grosses capitales : bienvenue au royaume de la folie."
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7 août 2007 2 07 /08 /août /2007 09:22

 

Je vous signale aussi que sur le Figaro.fr, dans la rubrique "High-tech" vous pouvez régulièrement lire des chroniques sur les blogs...

 

Moi je me suis instruite édifiée ou régalée en lisant ça


ou 
ça
sur la bibliothèque nationale d'Irak et son directeur qui tient un blog.... 

Même source, quelques lignes à explorer

 

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7 août 2007 2 07 /08 /août /2007 08:58

Article à lire dans Libération sur le discours de Sarkozy à Dakarr

"Le poids de la tradition.
A propos du discours de Nicolas Sarkozy à Dakar."


Article très bien vu. Parfois un peu vindicatif dans la formule mais pour autant non pertinent ....


Il y a encore souvent dans Libé des articles, du journalisme de l'investigation...


Je ne sais pas ce qu'il vaut mais je signale tout de même (comme une intention de lecture ou un appel à VOS lectures) :

Sorciers
Blancs 
livre de Vincent Hugeux journaliste dasn les pages monde de l'express (après avoir bossé pour Le monde). Vous pouvez l'entendre et le voir parler de son livre et sa genese là :

http://www.lexpress.fr/info/monde/dossier/francafrique/dossier.asp?ida=454819

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6 août 2007 1 06 /08 /août /2007 14:07
Je vous laisse naviguer dasn ce site que je découvre aussi. J'aime bien... j'avais vu les photos l'année dernière...
je trouve qu'il y a vraiment du talent dans la réalisation, que les procédés sont clairs et clairement explicités...

http://segura.mathieu.free.fr/
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4 août 2007 6 04 /08 /août /2007 20:14
Auster
dans
Leviathan
décrit le rituel de ce personnage, Maria, qui fait des repas chromatiques. Une couleur par jour
"Certaines semaines, elle s'imposait ce qu'elle appelait 'le régime chromatique', se limitant à des aliments d'une seule couleur par jour"


Du 8 au 14 décembre 1997, Sophie Calle (une artiste que j'apprécie beaucoup...tiens j'en ferais une note) décide de la faire et de prendre des photos.
DSC-0014.jpg

Moi je décide d'inviter des filles pour reproduire la performance mais grande échelle.
            1. je vais vaincre le mal, 2. je vais filer du monde à bouffer à mon fou 3. je vais me réconcilier avec la communauté des femmes

Invitées :
La fée du quartier parce qu'elle est femme - jolie, sensuelle, consicente, exigeante,DSC-0041.jpg






4.jpgHermine parce que c'est ma soeur, la femme qui m'accompagne dans la vie avec fidélité




5.jpg
L'Astrée rencontrée comme DeMa(thieu)VY une fille voluptueuse, généreuse, douce,
pétillante une femme




2.jpg
La femme mûre mature, belle, une classe folle, élégante mais dansd un jeans, intelligente et cultivée réactive généreuse,



1.jpg
parce qu'elle est le femme sensible, fragile mais fortifiée par des épreuves dont je ne connais pas le quart mais qui le rendent unique et forte... une femme féminine et discrete, une femme qui aime des choses similaires à celles que j'aime, une femme proche et lointaine quelqu'un dont je me sens proche et que je n'arrive pourtant pas à 


Que des femmes évidentes dans leur beauté "transversales" pas de fond / forme à opposer, des femmes où tout est beau. Cette nuit verte il m'a manqué Juliv', Orianne et MaRaine

La couleur :
vert

Le lieu mon placard francilien

Le Menu
Carpaccio de courgettes
salade
olives vertes
Avocat roquefort
concombre
petits pois
Pommes Grany
Kiwi
raisin
Vino verde



DSC-0025.jpg


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