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4 août 2007 6 04 /08 /août /2007 10:04
Je signalais l'article de "Critique internationale" sur les fondations des riches...
critique.jpg
Je complète la référence en disant que le dossier de l'émission 
"Rue des entrepreneurs" de ce samedi 4 août au matin est sur ce thème



à creuser
Synthèse de 'larticle de l'amission à venir
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3 août 2007 5 03 /08 /août /2007 20:40
Comparaison 


J'ai lu 
devenirs du roman
présenté par Adely
, Bégaudeau
Cet ouvrage est une émanation de la revue Inculte en coédition avec Naïve
Dans l'introduction / éditorial de l'ouvrage on met beaucoup d'insistance à nous dire que ce n'est pas une anthologie 



et pourtant c'est bien l'assemblage de textes qui ne se veulent pas faire une étude... Finalement c'est  bien un e anthologie de courts textes littéraires

Alors qu'un autre livre paru dans les mêmes eaux revendique le terme de "anthologie"
Le roman français contemporain 
avec Thierry Guichard...
Présente des textes de gens qui - revenant à ce que moi j'attends de la critique - se pose des questions formelles et conceptuelles sur l'objet qui les occupe en la matière "le roman"
Poser les questions, débrousailler les choses...


Le littré 
définit ainsi 
 
1. Choix, collection de fleurs (peu usité au propre)
2. Recueil de petites pièces de vers choisis
                    bon ... recueil de morceaux littéraire, on est d'accord ?!
Alors pourquoi celui qui en est purement n'arrive pas à le revendiquer, pire le nie, et celui qui s'en approche le moins le revendique ?
L'anthologie sert-elle de définition par l'exemple de quelque chose ?
L'anthologie de cyberpunk où chaque nouvelle sert d'élément de définition
Anthologie de textes servant à tenter de délimiter et creuser les questions relatives au roman contemporain...

a suivre
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3 août 2007 5 03 /08 /août /2007 18:58
Et si...
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3 août 2007 5 03 /08 /août /2007 14:52
« Si trop de précision risque d’enfermer un discours dans un cercle étroit d’initiés, trop d’imprécision dilue à coup sûr l’intention même de communication. L’efficacité d’un message tient en effet à l’équilibre qu’il manifeste entre la ferme volonté d’écarter les risques d’ambiguïté et le souci de permettre à l’autres de l’interpréter à sa façon. Mais certains groupes sociaux, parmi les plus défavorisés, n’ont d’autre choix que celui de l’imprécision. Ils disposent d’un vocabulaire flou et ambigu dont la plupart des mots recouvrent chacun un champ de signification démesuré : tout peut être « cool », tout peut être « niqué » ; tout peut être « trop ; tout peut être « craint »… Une bonne partie de ces mots « nouveaux peuvent ainsi se mettre à toutes les sauces contextuelles ; ils s’appliquent docilement à n’importe quelle situation. L’étendue de leur signification est tellement vaste que leur pouvoir d’information tend vers zéro car, si tout peut être « grave », rien ne l’est vraiment. »
 
 Bon on voit bien pourquoi je souligne ce passage, 
Plus loin :
 
 
« Mais ceux dont le vocabulaire est limité et imprécis, ont-ils un réel pouvoir linguistique ?Non, ce sont des « pauvres du langage » condamnés à ne pas communiquer que dasn l’immédiat et dans la proximité. Car ceux qui n’ont jamais la chance sociale et culturelle d’être invités aux concerts de la communication élargie n’ont que peu de raisons de se doter d’instruments justes et pertinents. Non parce qu’ils seraient intellectuellement incapables de les acquérir, mais tout simplement parce que, dans le petit périmètre de communication qui leur est concédé, ces instruments n’ont pas leur utilité. En d’autres termes, lorsqu’un groupe social est tenu à l’écart des cercles de réflexion collective, des lieux d’influence et des centres de décision, il va « naturellement » fabriquer des moyens de parole réduits parce que ceux-ci constituent la réponse linguistique pertinente à la situation culturelle et sociale réduite qui lui est imposée. C’est en effet le degré d’ambition sociale que l’on nous autorise qui règle notre envie et notre capacité de conquérir le verbe. Pour oser parler, pour avoir l’audace d’aller chercher par la parole l’autre au plus loin de soi-même, il faut avoir compris ce que parler veut dire. Il faut être sûr que parler constitue plutôt une promesse qu’une menace ; savoir qu’une chance réelle existe d’exercer un peu d’influence sur le monde. Plus étroit est le « cercle de parole », plus faible en est la maîtrise, et plus grande est la crainte à se hasarder au dehors. (…) C’est donc bien la marginalisation culturelle et sociale qui engendre l’insécurité linguistique ; mais la réduction des outils lexicaux, grammaticaux et discursifs qui en résulte rend cet enfermement de plus en plus sévère, et de plus en plus faibles la volonté et les chances d’évasion. »
 
 
Ce livre sans enfoncer des portes ouvertes, dit tout de même des choses qu’il est toujours bon de rappeler.
Puis, faisant les constats ci-dessus, il nous montre l’évidence de certains constats actuels
Combien l’impuissance linguistique peut mener à la violence
Combien quelqu’un désarmé face à l’autre, dans l’incapacité de maîtriser les mots et les concepts peut se sentir tant et tant impuissant qu’il se met en colère.
Ben oui.
Ca vaut pour les jeunes devant les juges (ces derniers ne font-ils pas le jeu du fossé en négligeant de prendre en compte le niveau de langage de l’autre ?), les enseignants…
 
Ben oui, CQFD pour moi aussi.
c'est le degré d'ambition sociale que l'on nous autorise qui règle notre envie et notre capacité à conquérir le verbe. ET l'intelligence n'a rien à voir là dedans. 

Si on n'a pas de nécessité à maîsitrer telle ou telle chose...
 
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3 août 2007 5 03 /08 /août /2007 12:28

Qui cache son fou, 
meurt sans voix



"Avec tes défauts, pas de hâte. Ne va pas à la légère les corriger. Qu'irais-tu mettre à la place ?"


"New York vu par un chien doit se baisser"
(là on pense tout de suite à Nicolas de Crécy)


"Le sang du boeuf mis dans le tigre, lui donnera des cauchemars"

"Le mal trace, le bien inonde
Qui laisse une trace, laisse une plaie"

Henri michaux



Merci à celui qui m'a fait ce cadeau de m'appeler un vendredi avant la sortie du travail pour m'offrir la seconde des phrases ci dessus, en sacahnt pertinemment qu'il m'ouvrait la porte d'un univers au bord duquel je ne saurais rester sans y regarder !

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2 août 2007 4 02 /08 /août /2007 20:30
Grosse Touffe se fait l'écho de cette lecture faite (par Annie Lebrun ?) de
Petit Prince
disant que ce livre est en fait un commandement faite aux enfants d'être performants pour être aimés...

Il s'appuie sur le fait que les enfants retiennent beaucoupd e choses de c elivre mais sont mal à l'aise avec le personnage même du Prince.
La rose dont il ne s'occupe pas au final
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2 août 2007 4 02 /08 /août /2007 09:37

Voler des instants.

Un jour de semaine être en jeans et touriste dans les jardins du Luxembourg au soleil chaud mais pas torride dans un milieu de matinée, avec un café, à parler du Surmâle de Jarry – pardon Grosse Touffe ce n’est plus Notre sujet à tous les deux mais j’imagine que c’est pour ton plus grand bonheur que d’autres puissent partager sur ce livre… J’imagine pas, je sais.

Avoir du temps, sentir le soleil sur la peau, l’air par intermittence dans le cou nu. Et du temps, volé au train train.

 

Un tartare à Châtelet et pas de culpabilité à mes côtés. Pas besoin de guetter la rue au cas improbable où… (Y a ceux qui connaissent les bornes de taxi de 3h du matin et ceux qui connaissent les rouages de la sortie en public)

Les tripes qui se relâchent, les muscles qui se détendent. Arrêter petit à petit de se battre – ce sera le souhait de fin, c’est déjà un peu la réalité.

 

Edouard VII Avenue de l’Opéra. Le serveur est sympa je lui offre des framboises apportées aux deux hommes que je suis venue rejoindre là. 5 fruits et légumes dans la journée dit M. Sam. Oui mais 5 différents…

Hier, le réveil aurait du sonner tot très tot pour pouvoir être confortablement à Orly vers 7h30.

Les parties de Wii (ben faut pas y mettre les pattes après on s’arrête plus) chez Mat de cocagne se sont terminées vers 2h du matin et Taxi G7 et toutes les autres compagnies PAS DE TAXIS poru le 18e

Lassés d’appeler des taxi nous décidons de nous coucher sur place. Bim !

Donc dès patron minet en route vers Orly … Au départ de Gare du nord en même temps c’est pratique.

Les vols en provenance de Fort de France déversent des bronzages qui font rêver.

 
 

J’ai vu avec émotion un bout de fratrie se prendre dans les bras avec chaleur, avec amour, avec sincérité… Donc ca existe !

 

J’ai vu la fin d’une histoire et la vie qui continue.

 

J’ai vu un train partir



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2 août 2007 4 02 /08 /août /2007 09:34
En lecture :

Les liaisons dangereuses

s’ouvrent, merci grosse touffe, sur des lettres datées du 7 et 9 aout. Moij’dis ca j’dis rien.

Y en a qui focalisent sur le 23, 23e lettre et tout…

 

Je trouve qu’on a du mal à pénétrer dans cette œuvre :D (oups pardon de cet iconoclasme à ceux pour qui c’est un chef d’œuvre intouchable) !

Non mais c’est vrai. La niaiserie des lettres n’est pas du tout excusée chez moi par le fait que ce soit libertin ou approchant.

Il y a dans les premières lettres une seule qui trouve grâce c’est celle de Valmont parce qu’il y a toute la duplicité l’aveu de l’envie de vaincre les résistances et le pressentiment de la vanité de la chose… ce qui me fait toujours craindre l’idée de relation longue, … de « couple » comme ils disent dans la réalité … la peur qu’une fois les résistances vaincues, une fois les voiles levés il ne reste plus la beauté de l’attirance pour l’autre, ce qui me fait peur c’est le désir de l’autre vaincu par la connaissance. Pourtant, je ne suis plus toute jeune, j’ai pris du raisonnable dans l’aile.. la connaissance de l’autre comme plaisir, je vois bien…

Bref, le reste m’ennuie et je me suis demandé comment j’allais dépasser ca

« Pour les liaisons, pense seulement que c’est un roman d’amour qui se cache sous un roman libertin qui se cache sous un roman moral. Le tout écrit par un capitaine artilleur du XVIIe siècle qui s’ennuie au milieu de ses hommes. C’est violent, secret et beau comme une pièce silencieuse, plongée dans la pénombre, au cœur d’un été asphyxiant. » me dit Grosse touffe pour m’aider

«  On s’est juste rencontré assez tôt pour qu’il ne soit pas trop tard » me dit un autre fan de ce livre, le sourire charmant au coin des lèvres en forme de « si tu ne lis pas tu ne comprendras pas la subtilité »

Alors je vais me plonger dans la touffeur d’une pièce obscure et silencieuse pour voir en quoi il n’est pas trop tard

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1 août 2007 3 01 /08 /août /2007 09:01
J’ai testé pour vous

Petits joueurs nous avons pris un tout petit forfait

Vous allez à une borne. Carte bleue en main parce qu’il demande une caution de 150 euros à la banque, vous choisissez votre forfait votre vélo et vous roulez.

C’est agréable Pari sà Vélo. C’est fun les Grands boulevards à vélo… Le boulevard des Italiens et tout.. Dans le panier à l’avant il y a un antivol, vous pouvez faire votre petite tambouille pénard (aller faire des courses, aller manger, aller travailler) et vous reprenez le vélo après.

Vous pouvez choisir une courte durée (une première demi heure est gratos l’heure est à 1euro en revanche au de là c’est 4euros la demi heure entamée. Sinon 1 euro la journée, 5 euros les 7 jours)

Bon maintenant le côté moins fun :

On vous fourni pas la liste des points Velib’ donc une fois le temps imparti écoulé, pour ne pas payer la peau des fesses les dépassements de forfait ; il faut le poser. Quand on sait pas où sont les bornes… c’est un peu la panique

Mais admettons que vous êtes mieux organisés et vous en avez repéré une. Vous pouvez avoir prévu assez large pour rejoindre un point Velib’ ok. Sauf que ce que vous ne pouvez pas anticiper, c’est l’occupation des bornes. Bim !!!!! Vous arrivez, plus de places pour le poser… La borne propose une option sympathique : une carte avec les bornes les plus proches et les places restantes. Bon vous pédalez vite fait jusqu’à la suivante… Moi j’en ai fait trois comme ca avant de revenir finalement à la première que j’avais repérée. Le temps que je pédale jusqu’à la suivante les dernières places étaient prises !!!

Bref, M. Sam disait en voyant l’affaire « bel attrape gogo bobo » ! Moi j’dis belle initiative et vivement qu’il y ait encore plus de gogos bobos pour enterriner le taux de pénétration et amener la Mairie à une augmentation des équipements ! et puis c’est tout ! Il faut bien des cons pour tester hein !?

J’en connais qui sont capes de tester des trucs bien lus crétins, suivez mon regard… vers le Chat fou !

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25 juillet 2007 3 25 /07 /juillet /2007 11:58

Il s'agit pour ces artistes urbains :-P de jouer entre les effets de lumière (lampes, bougies et autres sources de lumière) - le motif à dessiner et le temps de pose de l'appareil...
C'est épatant sur certains clichés l'executant ne se voit même pas !

Régalez vous c'est géant.
On peut même pas - avec la pire des mauvaise foi du monde dire que c'est de la population visiuelle. comme le Land Art, et même plus que le Land Art c'est éphémère ce qu'il reste c'est la trace photo.

Parmi ce que j'ai vu de mieux en la matière pour l'instant
Lichtfaktor
http://www.flickr.com/photos/lichtfaktor/
groupe allemand.


Et puis plus institutionnel à mon sens
http://www.lightpaintings.com.au/stock-photography.htm


Pour la france on nous rebat les oreilles avec Marko 93. Je ne suis pas fan de ce qu'il fait pour ma part. Mais vous pouvez aller voir. Ambiance Wu Tang.

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