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16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 23:53
Le jardin des délices
Philippe Carrese

Le livre
     les couvertures un peu naïves de polar. et pourtant une fois qu'on a pigé c'est clair. Pourtant entre le titre et l'illustration c'étatit pourtant simple de piger.
Le pitch
Une quête autour d'un groupe de rock de jeunes ados et du tableau de Bosch "le jardin des délices"
Mes commentaires
        Le début de la lecture me galère me déçoit... pourquoi cette obstination à adopter un language parlé soit disant jeune. c'est vulgos et irritant.
Et pourtant... La fin du premier chapitre avec ces bottes plantées dans les rails seules...
        Et pourtant ... cette incapacité à lâcher ce livre dans les transports en commun, dans la rue, dans les escaliers, jusqu'à épuisement des pages.
        Et pourtant, une ttentative de présenter l'artistetrès digeste et une interprétation du tableau hyper légèreement présentée et pourtant pertinente !
    Je ne me suis pas renseignée ssur l'auteur toutes mes excuses.





Le portrait de Leonora
Thierry Robberecht
Le livre
       Comme le précédent cité, les couvertures un peu stéréotypées de Syros.
Le pitch
       Celui e decitre : Une nuit, Emile et son père Vincent sont réveillés par la sonnette de la porte d'entrée.
Affolé et trempé, le visiteur nocturne n'est autre que Max, le frère jumeau de Vincent, que celui-ci n'a pas vu depuis quinze ans. La ressemblance entre les deux hommes est troublante : silhouette maigre, cheveux noirs, long nez. Et pourtant - est-ce le regard scrutateur de Max, son costume vert à lignes trop voyant ou les rides autour de sa bouche qui lui donnent un air fatigué ? - Emile sent bien que la joie de son père risque d'être de courte durée.
Mes commentaires
      en paralèlle du précédent :
+ "simpliste"
     Chaque chapitre - même si c'est moins net pour les trois derniers - commencant par un repère temporel (ex : le lendemain est vendredi, le lendemain matin, le lendemain est un mardi) ce qui me semble le signe d'une structure claire et balisée.
      Impression renforcée par les titres de chapitres et donc le sommaire en tête de volumes qui, quand on est un peu habitué, trahi quelque peu la structure de la narration.

- polar
      c'est vrai qu'une fois lu celui-ci, je me dis que je suis favorable au conseil de lecture avec style d'écriture un peu exigent bon niveau de vocabulaire et de structure narrative mais qu'en réfléchissant en terme de policier poler ou thriller - le style doiven être populaire et qu'une expresssion et un vocabulaire populaire se justifie si on l'argumente.



- intéressant au niveau lien à l'artiste
       On pourrait penser dasn les thèmes à un raprichament à l'excellent  Tableau du Maître flaman de Perez Reverte mais avec moisn d'exactitude sur restauration renovation en matière d'art......
       Quant à la comparaison avec le livre précédemment chroniqué moins bien foutu en terme d'analyse de tableau ou interprétation. Dans le jardin des délices au moins on peut lire une interprétation du tableau - sensible qui plus est- et à du détail.... à des éléments sur l'artiste.  Dans ce livre rien à part à lapage 69 le fait qu'il existe un tableau plus mystérieux du même artiste (donc le Titien dont on ne nous pas grand chose dans le rooman)
L'homme au gant
.


J'ai vu
28 jours plus tard
un film assez terible - bien plus que le livre Je suis une légende  où le héros est le seule non vampire - monde post apocalyptique via virus....
En lecture
le peuple des Cygnes - sf anticipation et post apocalyptique jeunesse
et toujours le Gaiman
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15 juin 2009 1 15 /06 /juin /2009 19:50
Saia
Chabas

Le livre
         Couverture jaune avec trois lignes pointillées de couleur se croisant qui représentent les chemins des personnages. La collection Médium de l'école des loisirs est imprimée sur un papier épais... qui doit résister aux utilisation de classe ou prêt CDI, bibliothèques et autre usage scolaire ou para scolaire, mais qui rend le livre... rigide à un lecteur lambda comme moi.
Le pitch
           Trois frères, Farid, Karim et Sofiane dont des jumeaux, sont en vadrouille dasn le sud ouest. On comprend qu'ils fuient la police ou les autorités en général et veulent rejoindrent leur oncle car leur père est reparti depuis longtemps en Algérie et que leur mère vient de mourir. Et avec des oiseaux inquietants au dessus de la tête et l'impression de fuite dangereuse dans un coin où ils ne comprennent pas la langue ils vont changer leur vie.
Mes commentaires
         Je ne suis pas séduite par le style ni même passionnée par le périple des garçons. Chaque bruit ou mouvement me permet de relever les yeux des pages et je dois reprendre la phrase d'avant sans arrêt. Je ne vois pas le bout de ce petit roman. Je sais que Chabas est un intouchable de la littérature jeune (j'ai apprécié son eau verte l'an dernier sur la différence avec une dose d'étrange) mais les incursions de la langue d'oc n'arrivent pas à me le faire considérer comme conséquent.
L'auteur
Chabas est donc je le disais plus haut, un incontournable de la littérature jeunesse. il est très prolixe. Plus de 60 romans je crois.



En lecture
Le jardin des délices polar  jeunesse
Portrait Léonora - polar jeunesse
Neil Gaiman L'étrange vie de Nobody Owens, Albin Michel Jeunesse
Christian Grenier Robinson des étoiles- sf anticipation poost apocalyptique jeunesse

Je regarde
en reprenant ma liste des séries et films de sciences fictions
et ai vu
cloverfield - un film où la caméra est censée être tenue par un des personnages comme film témoin (comme assez proche du "Dogme" tel le Festen de Vitenberg ou lars van tiers - si jamais vous me lisez voulez et ne savez pas ce qu'est le dogme faites moi un commentaire j'explique très volontiers ce mouvement conématographique) et où la ville est ravagée et envahie par une bête géante (tel le très grand classique Gozilla) qui produit des petits via les humains (tel Alien).
Home de yann  artus Bertrand

et je me prépare
28  jours plus tard
28 semaines plus tard
appleseed
CJ7
Cypher
Deep impact
Doomsday
Final fantasy
Generation Proteus
Judge Dredd
L'étrange histoire de Benjamin Button
Le ligue des gentlemen
Le choc des mondes
Les chroniques de Riddic
k

J'écoute
sur le conseil de mêlée ouverte
Richie Hawtin l'album DE9 Colser to the edit  - une merveille quand on apprécie l'électro
d'ailleurs je signale aux parisiens résidants ou occasionnels que s'ouvrent ces jours-ci l'excellent festival Paris Jazz avec nottamment une date avec Eric Truufaz (et même si c'est avec Christophe je crois que ça vaut le coup)
 
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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 22:16

L’île du crâne

Anthony Horowitz

Livre de poche (contemporains / collège)


Je continue mes lectures "jeunes" vous l'aurez compris je suis dasn un cycle disons professionnel de lectures. 
            Le livre

         La couverture est racolleuse un dessin de châteaux perchés avec un crâne en filigrane devant...

         En revanche, page 31 il ya une jolie courbe d’espaces (juste interrompue par le mot « expéditeur ») qui rend la page très ronde, c’est amusant

            Le pitch :

            David fait le désespoir de ses parents, il est renvoyé de son école et envoyé (suite à une curieuse sollicitation du directeur) dans une école bien particulière pronant la discipline. Sise sur l’île du crâne dasn un château imposant et inquiétant. Tout l’armadas de l’étrange, du sorcier, de l’horreur. Il y arrive avec ceux qui deviendront les compagnons Jill (jeune fille sauvage) et Jeffrey petit gros begue. Et touts les ressorts y sont des cours bizarres où tout le monde a plaisir à aller, des profs qui n’ont pas de reflet ou en bandelettes, des frigos dissimulés contenant des poches de sang. Tout l’enjeu était de comprendre ce qui se passe vraiment à Groosham Grange et aussi d’en partir…

            Mes modestes commentaires

            Le début fait étrangement penser à Harry Potter – le garcon maltraité dasn sa famille qu’on envoie au loin, le train étrange pour nulle part, les compagnons un garcon et une fille. Et finalement l’école dans un château, et aussi – je ne spoile pas – mais quand même au final quand on apprend ce qu’il a appris pendant son année.

            C’est amusant… le caractère forcé dasn la stéréotype de genre est contre balancé par de l’humour.

            J’ai remarqué qu’au début du roman, l’installation de l’étrange se fait très progressivement et la technique est intéressante : une fin de paragraphe avec une absurdité. Et le paragraphe suivant comprend une explication possible de cette absurdité. Et ces « justifications » glissent vers l’absurde comme normal…

             J’ai passé un super bon moment de lecture donc malgré la facilité du thème et de certaines ficelles narratives.

            L’auteur :

Horowitz. Il paraît qu’il ne se présente pas c’est un des prolixes de la littérature pour les jeunes. Mais j’apprends qu’il fait aussi des séries télé, je m’en vais voir de quoi il retourne

Il a un site dont la présentation laisse entendre qu’il n’a pas de gros problème de ventes…

Ogr
Onuma Nemon
Tristram

J'avais acheté et lu autant que faire ce peut l'énorme Cosmologie !
         Le livre
Livre objet typo... intégrant dessins photos curiosités typo... on a l'impression d'entrer dans un univers complexe.
          Le Pitch - qui n'en sera pas un
          Des récits rassemblés sous deux parties "Quitte&Monte" et "Amères loques". Ogr est l'un des continents littéraires de l'univers de que construit lentement l'auteur.
IL décrit ainsi le projet : 
Ensuite à l’adolescence, ce fut l’amorce à la fois “consciente” et délirante de l’œuvre dans une première constitution en Cinq Continents liée au début du travail sonore, cinématographique et plastique.
Aujourd’hui, ces Cinq Continents se sont résumés en une formule : OGR-OR-O-HSOR-OKO.


        Pour approcher, comprendre cet auteur son porjet et pour voyager avec lui, il y a son site
          L'auteur
          Onuma Nemon - signifie mon nom est personne on le comprenait dans la cosmologie.
Sur le site de Verticales il est ainsi décrit
D'origine andalouse et cubaine, Onuma Nemon est né en 1948 dans un milieu sous-prolétarien. Il a croisé dans sa jeunesse plusieurs groupes utopiques


Je lis
Poutine le parrain de toutes les Russies
de Jean Michel Carré

et

La Russie, de Poutine à Maedvedev

mais aussi

un livre à venir chez Attila en septembre

Paris insolite de Jean-Paul Clébert et Patrice Molinard - Roman aléatoire authentifié par 115 photos en noir et blanc. Ca prend au tripes, c'est le succès de la rentrée !!!! Je ne manquerai pas d'en reparler à sa sortie
et Boites un livre chez Cambourakis

Je regarde

le pilote d'un nouvelle série hospitalière

Nurse Jackie
et la saison 2 de Jericho
et aussi j'ai un peu honte d'avouer avoir déroger à ce que j'avais juré : la saison 2 de 24h chrono
j'écoute le dernier Wax tailor et Isolée

J'irai jeudi à la fin du vernissage de Kiki à l'espace eof, vendredi et samedi soir aux rencontres
"Paris en toutes lettres" au Point ephemere le long du canal

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29 mai 2009 5 29 /05 /mai /2009 16:26

Le complexe de l’ornithorynque

Jo Hoestland

Milan (Macadam)

 

 

            Le livre

            La couverture design des ornitho qu’il faut se concentre rune seconde pour reconnaître (parce que comme le dit l’une des narratrices « ont vraiment une tronche de puzzle raté »… et un papillon qu’on comprend aussi à la lecture. Les couleurs donnent une impression un peu « torturé »

 

            Le pitch

            La quatrième de couverture est bien claire. Il s’agit de quatre adolescents Carla, Rose, Philémon (Pierre) et Aurélien. Carla craque sur le mystérieux voisin Philémon, qui lui est attiré par Rose qui n’a d’yeux que pour Aurélien. Ce dernier serait plutôt gay. Bon le prétexte décrit par la couv’ est bien là.

 

            Mes modestes commentaires

            Il y a quatre narrateurs, qui disent tous « je ». C’est donc un récit à quatre voix, qui se déroule par petit morceaux. Langue orale avec c’est vrai quelques exigences de vocabulaire avec des adjectifs comme « barriolé » par exemple. Et préoccupations ados. Le rapport au corps, aux autres, positionnement dans le monde…

 

            Un petit plus pour ce passage au début où Carla s’en va en classe et révise ces déclinaisons de verbes anglais au fil de ses pensées :

« Par terre, le sol est jonché de feuilles pourries. Faudrait sweeper, to sweep, swept, swept… Balayer. (…) Vertige Heureusement, que je suis assise to sit, sat, sat, sur cette banquette dans le skaï me colle aux fesses (…) Vite, to forget, forgot, forgotten, oublier, oublier cette vieille femme, vit qu’on arrive au lycée. On y est, on descend. Les deux crétins me bousculent, ça me fait presque du bien. To spring, sprang, sprung, jaillir, bondir, on est jeunes et on est vivants, les mecs, quel bol on a.

Saved !.... »

 

Je lis Charles VI et la folie
Je regarde toujours les Tavernier sans grand enthousiasme
J'écoute toujours Wax Tailor et Hot Chip


Je m'en vais à Auber voir L. et Cc. ça me fait bien plaisir.
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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 23:42


Sex-shops : une histoire française
Baptiste Coulmont

Ed. Dilecta

Le livre
Bel objet à la couverture bien flashy. On aurait presque l'impression d'avoir affaire à un roman et pourtant non. C'est un documentaire, c'est la publication d'une enquête sociologique.

Le Pitch
Vous y trouverez bien sûr un petit historique allant de l'époque "librairies libertines" à celle vers 69 de glissement d'appelation. puis les legislations obligeant l'opacité des devantures (entraînant d'ailleurs plus de fanstasmes)... jusqu'à aujourd'hui.
Mais également évidemment on est là pour ça des considérations sociologiques sur les publics de ces boutiques mais aussi sur les vendeurs, ainsi qu'un chapitre, nécessaire sur les sex toys et la relative "généralisation" de leur usage hors de ces lieux, à la maison. Dans les entretiens relatés il y a quelques perles.
 

 L'auteur, nous dit la quatrième de couverture est normalien docteur de l'Ecole des hautes études en sciences sociales et je trouve me trouve fort aise de voir ce sujet passionant traité par quelqu'un de sérieux... plus sérieusement justement, je pense qu'il existe d'autres études sur le sujet mais j'ai lu celle -ci avec plaisir, oups... intérêt. Si le but était la vulgarisation d'une étude sociologique cest très réussi !

Je recommande. Et dans le métro c'est effet garanti.


Je lis t Le complexe de l'ornithorynque de Jo Hoestland (ed Macadam)

Je regarde les derniers épisodes de Médium
et me fais un cycle Tavernier

J'écoute Wax Tailor et Hot chip


Je recommande "Good morning england" au cinéma

J'irai ce week end à la Halle Saint Pierre pour la librairie éphémères des petis éditeurs indépendants emmanés par Passage piétons

 

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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 23:16

V-Virus

Scott Wetserfield

Milan (Macadam)

 

 

            Le livre

            L’esthétique de la couverture est prometteuse quand on est un peu fan de science fiction anticipation ( qui se passe dans un avenir très lointain – comme 1984 quand il est sorti ahahaahahah) voire post apocalyptique – des sociétés d’après une explosion nucléaire totale ou catastrophe ayant éradiquée à la grande majorité des Hommes et/ou de leur “civilisation”)

 

            Le pitch

            Et en effet il y a de ça. On pense aussi dans le prétexte à ces films où un virus se propage si rapidement (en heures)et si mortellement que l’humanité est en danger. Bon alors pourquoi pas

            Mes modestes commentaires

            Sauf que le style est insupportable. Une sorte de ton un peu pédant. J’ai presque eu l’impression que l’auteur me regardait de haut genre « tu m’aimes ou t’es pas in »

Mais j’ai des amis (des grands lecteurs auteurs éditeurs etc eux-mêmes qui en disent enormement de bien !!!!)

 

            En brefJe décide que je le rependrais plus tard

En écoute  : la totale Nougaro,

En lecture :
sex shops : une histoire française

Séries : Jérico saison 1
7 jours pour agir - saison 1

FBI portés disparus - saison 6

Films :

Dogville et sa suite 

 

Expos du moment "la force de l'art" de belles signatures mais rien de frappant. me suis attardée sur le s culpture dlivres mais à y saisir sans le discours d'expo alors ... ? grand débat

 

Une image peut en cacher une autre et là c'est juste énorme !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! les oeuvres qui cachent une ou plusieurs représentatiosn via les ombres ou une rotation ou juste une illlusion d'optique !!!!!!!!!! A voir vite !!!!!!!!!!!

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18 mai 2009 1 18 /05 /mai /2009 21:44

Je ne vous parlerai pas de "Eros 69" au Forum des Halles et pour cause. Soirée de festif de "40 ans de libération sexuelle".


Mais j'ai lu hier L'ombre d'Adrien
de Cathy Ytrak
chez Syros édition dasn une collection nommée "les uns et les autres"


A priori de la littérature classée pour "adolescents".
Le Livre :


 


         Je n’aime pas la couverture je trouve qu’elle geek ou fan d’art contemporain à clé. Je trouve qu’elle ne sert pas du tout le livre. En tous les cas, elle ne reflète pas l’ambiance qui est plus feutrée que ça et moi je trouve qu’elle laisse présager une présence du numérique ce qui n’est pas du tout le cas


     Le pitch : un drame en montagne. Deux grands ados ou ejunes adultes qui s'aventurent dasn un sentier de très grande raondonnée réservé aux chevronnés... ll'un d'eux meurt lors de cette randonnée. C'est le drame pour les parents les amis restés en bas au bord du lac mais surtout pour le personnage principal, Jérémie qui était avec Adrien au moment de sa chute. Jérémie - le narrateur à la troisième personne exprime le point de vue de Jérémie qui doit continuer avec les birbes de souvenirs et ce drame...

Le récit est poignant... J'ai trouvé que le début était poussif mais le roman poignant... Un bon style ... et on n'est pas du tout indisposé par quelques "clichés" (par exemple : le père de Jérémie décrit comme un ouvrier ayant abandonné l'école parce qu'il état élève médiocre pour travailler en usine où il est grande gueule mais bouffe de l'amiante à pleines bouffées).


    Le propos semble triste - et il semblerait que les ados en ait ma claque de le tristesse - mais le style est vif, le livre se dévore en un rien.

    En exergue de la première partie :
"Et la lune mutine en partant
Sépara l'enfant fou de son ombre"



Je lis toujours céline puis "Sex shops : une histoire française" une étude signée par un normalien dont je reparlerai une fois fini
Ecoute Nougaro la totale et doit évidemment recommander "Bidonville" dont elle est a reparlé avec M^lé ouverte alors qu'elle l'avait dans son e reader pour le week end famille
Regarde les deux versiosn du "facteur sonne toujours deux fosi (celle de 46 et celle 81)
toujours pas vu mais programme "Dogville" de Lars van Triers et sa suite "Mandelay"
Va demain au théâtre voir "Tous au théâtre"

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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 11:04

"Je suis pas Victoire ! Je suis pas Défaite ! Je débarque pas !... Je suis pas offensive !... je suis pas recul !... Je me régale voilà !... Ca fait rien, c'est pas que d'en rire !... y a du malheur dans leur connerie !... La preuve c'est qu'ils se sauvent  ! et à qui mieux mieux !... C'est une peur qui les prend pour moi !... Tout simplement !... Une peur à l'envers voilà tout!... Gribouille !  Moi j'ai pas peur nom de foutre ! ... Moi j'ai pas besoin de feuille de route ! Je marche bien tout seul !"
Céline Guignol's Band
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13 mai 2009 3 13 /05 /mai /2009 22:38
"Pas capable de garder vos folles ! La chienlit !"
                                                                 Céline Guignol's Band, p.103 de l'édition folio


Donc, c'est parti je lis céline.

 Je lis aussi V-Virus.

Lu dans le dernier "Matricule des anges", le portrait de l'éditeur du mois sur ATTILA.

Je regarde "Journeyman" - une série dont le prétexte est le voyage dans le temps.
La vieille série "Les mystères de l'ouest".
Et je continue "FBI : portés disparus"

En programme : "Dogville" de Van Tries sur le conseil de Ma Raine, à qui j'ai voulu faire essayer le jeu du Loup-Garou ce week end et qui a eu la même réflexion que moi, sauf qu'elle fut visiblement rhédibitoire pour elle : pourquoi un mort à tous les tours, pourquoi tuer pour punir ?

"Assurance sur la mort" un film policier de 1945
"Le facteur sonne toujours deux fois" de 1981
"Meurtre au galop" de 1965, de george Poloock

J'ai "Runaway" dans ma DS.

J'écoute "La Passion selon saitn mathieu" de Jean Sebastien Bach
(dont j'ai loupé de peu la représentation à Paris le mois denrier) endrew Bird Merz et du rock à foison


        Ce soir, votre serviteur le fou a adoré marcher dans Paris sous le ciel en colère avec du Noir Dés' à fond dans les oreilles. Quitte à devoir mettre les mpompes à la poubelle et les fringues à l'essoreuse à main. Cette journée de reprise signe une nouvelle victoire de canard (comme me dit Grand Mât de Cocagne à qui j'explique que j'ai cette fois encore l'impression de prendre à un canard à 2000 à l'heure en même tronche à ce retour au boulot tellement on me tombe dessus avec des tonnes de dossiers différents et tous plus urgents les une que les autres)!
       Le fou pense qu'il ne sait pas s'il passe à côté de quelque chose ou pas. Faut-il forcer le destin si on croit que ca vaut le coup ou les choses qui doivent arriver arrivent-elles de toutes les façons et donc si elles n'adviennent pas c'est qu'elles ne doivent pas ...
         Votre serviteur le fou se dit qu'après le voyage et les rencontres, qu'après une cousinade ... après tous ces visages tout ce bruit... il mesure à quel point son chez lui est silencieux et solitaire. Votre serviteur le fou se demande encore et encore si il a raté le coche ou non de cette histoire qui a timidement commencée puis plus rien



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7 mai 2009 4 07 /05 /mai /2009 20:02
      Je suis de retour d'Estonie.
J'ai lu ce que j'avais sous le coude en littérature estonienne. Cf. mes entrées sur l'Estonie.
Il me reste donc.... à suivre le conseil de Antigirafle qui me disait en février qu'il fallait que je retente de lire Céline et que pour ce faire (avec succès) il fallait que je lise Guignol's Band au printemps... Alors en attendant d'aller voir Florence avec Antigirafle, je décide de prendre Céline mais c'est pas aisé.
J'ai aussi entamné la lecture de Strytelling l'essai de Christian Salmon sur la tendance actuelle des média et de la politique... marrant, il y a quelques années on se gargarisait du terme "agenda politique" et je crois bien que ce nouveau "concept" vient remplacé un peu ça...


       Je regarde, gâce aux recommandations de la fée du quartier, United states of Tara.
       Et en creusant un peu, je trouve aussi une série nommée Médium. La série est assez proche de afertlife dont je parlais avec chat fou récemment ; une femme qui rêve de gens en détresse - la différence est dans le caractère trépassé des gens secouru mais sinon c'est assez proche
         D'ailleurs j'en profite pour faire une très longue digression sur le fait que l'équipe de The practice - agence d'avocats souvent défenseurs de cliennts criticables moralement - et de cold case.... une équipe avec un enrombé, une jeune sexy blanche un jeune sexy blanc, un black et une black...


         Je regarde aussi The reaper Un prétexte pas si mauvais, classique : un jeune homme ayant arrêté les études pour travailler dans une grande surface . Ca, ça rappelle un peu cette autre série Chuck où un type doué mais sociopathe se retrouve avec tous les secrets de l'etat en tête et protegé sous couverture par deeux agents secrets une bombe sexuelle et un rambo. Donc ce jeune homme atteint l'âge où il découvre que ces parents ont vendus avant sa conception et pour sauver a santé de s on père son âme au diable. Le voilà à la solde du diable pour récupérer les âmes échappées de l'enfer et errant sur terre. Il est secondé par son meilleur pote, le taré de service

                  Je finis the closer  et the practice
Alors, puique rien de consistant n'a été écrit ici...
the Closer

        Une femme en tre deux âges mais attachée à sa sarrière dans les services de police, se retrouve à la tête d'ne équipe en marge - une équipe chargée d'enquêtes dites "prioritaires" - Tout est casé sur l'idée que cette femme est une tueuse en interrogatoire qu'elle joue sur sa chévitéautan que sur sa féminité dans les interrogatoires...

         J'ai regardé des films  : plus jamais, les harry Potter et franchement ce n'est pas de la mauvaise foi mais je ne suis pas emballéé.
         Je regarde les Nibelungen de Fritz Lang une seconde fois.


         Je finis "Professeur Layton" ! ben dis ! ... tous ceux qui nous entourent sont des automates. et .. bon d'accord je spoile pas... mais comme dit Mât-de-cocagne "on saia quoi t'offrir pour ton aniversaire, layton II" et il y a des chance spour qu'il ait raison d'affirmer qu'il y ait bientôt  une suite... d'autant que le téléchargement des énigmes hebdo ne fonctionnent pas, ou je ne sais pas les faire fonctionner. C'est marrant comme les dénouments de Layton sont moins "actifs" que dans "touch'detective" (sisisis j'ai joué à ce petit jeu pour jeune mais très bien foutu, une bonne intro aux jeux d'aventure reflexion le cran d'entraienement juste avant "carman"  ou "exit")

          Je tente une recette : Crumble de radis rapa... Les radis rapa sont les radis blancs longs. Paraphlegman me contradira si je me trompe mais c'est une légumineuse bien connue des adiatiques, moins courantes dans nos alimentations. longs et blancs....
Donc je le cuis vapeur, je le mets avec des échalottes et du persil... fais une pâte crumble avec farine beurre persil et sel...
C'est très bon mais me promets d'essayer avec oignons roses (au lieu d'échalottes) et ciboulette pour contre balancer en gout autant que l'oignon contrebalance le goût trop aigre de l'échalotte renforce au lieu d'équilibrer le navet... et ciboulette plus goutu que le persil ..


           
          Tout bientôt trois jours de "cousinade", les retrouvailles familiales tous les deux ans. Tout le monde de la branche se retrouve toutes les générations confondues (et c'est heureux). Trois jours de fête, de parlottes, de jeux en tous genre, de plats vendéens, de bons vins, d'échanges... l'esprit de famille ne pas se perdre et même se lier... se comprendre se suivre se voir vraiment s'écouter
.


         Nouvelles idées pour le Latourex :
- Un voyage selon le scénario de La voyageuse de la petite ceinture - la bande dessinée dont j'ai déjà parlé. suivre son scénar... et pourquoi pas l'intégrer dans les beaux jours à ces randonnées sur les rails désaffectés de la petite ceinture que nous affectionnions aux beaux jours...


- un voyageur soit inspiré par, soit adapté à, soit utilisant dan s les contenu le guide du voyageur galactique



        Et ces idées de process me donnent une autre idée plus globalisante pqui pourrait être de ne faire que des voayges expérimentaix à partis d'oeuvre de création qu'elles soient littéraires musicales dessinées... pour chacun de mes voyages... à dapapter selon le support et le type de voyage ou se destination.. à creuser...



Merz "Loveheart" toujours et finalement j'aime vraiment bien

en lecture ben faudrait que j'arrête de buttiner pur évier de lire céline au printemps parce que l'été va venir que je n'aurais pas mis un nez dedans.....

en lecture aussi le Coran
en vision Affaires classées , fin des épisodes disponibles de "united states of tara", la séri e "médium" ...


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