Philippe Carrese
Le livre
les couvertures un peu naïves de polar. et pourtant une fois qu'on a pigé c'est clair. Pourtant entre le titre et l'illustration c'étatit pourtant simple de piger.
Le pitch
Une quête autour d'un groupe de rock de jeunes ados et du tableau de Bosch "le jardin des délices"
Mes commentaires
Le début de la lecture me galère me déçoit... pourquoi cette obstination à adopter un language parlé soit disant jeune. c'est vulgos et irritant.
Et pourtant... La fin du premier chapitre avec ces bottes plantées dans les rails seules...
Et pourtant ... cette incapacité à lâcher ce livre dans les transports en commun, dans la rue, dans les escaliers, jusqu'à épuisement des pages.
Et pourtant, une ttentative de présenter l'artistetrès digeste et une interprétation du tableau hyper légèreement présentée et pourtant pertinente !
Je ne me suis pas renseignée ssur l'auteur toutes mes excuses.
Le portrait de Leonora
Thierry Robberecht
Le livre
Comme le précédent cité, les couvertures un peu stéréotypées de Syros.
Le pitch
Celui e decitre : Une nuit, Emile et son père Vincent sont réveillés par la sonnette de la porte d'entrée.
Affolé et trempé, le visiteur nocturne n'est autre que Max, le frère jumeau de Vincent, que celui-ci n'a pas vu depuis quinze ans. La ressemblance entre les deux hommes est troublante : silhouette maigre, cheveux noirs, long nez. Et pourtant - est-ce le regard scrutateur de Max, son costume vert à lignes trop voyant ou les rides autour de sa bouche qui lui donnent un air fatigué ? - Emile sent bien que la joie de son père risque d'être de courte durée.
Mes commentaires
en paralèlle du précédent :
+ "simpliste"
Chaque chapitre - même si c'est moins net pour les trois derniers - commencant par un repère temporel (ex : le lendemain est vendredi, le lendemain matin, le lendemain est un mardi) ce qui me semble le signe d'une structure claire et balisée.
Impression renforcée par les titres de chapitres et donc le sommaire en tête de volumes qui, quand on est un peu habitué, trahi quelque peu la structure de la narration.
- polar
c'est vrai qu'une fois lu celui-ci, je me dis que je suis favorable au conseil de lecture avec style d'écriture un peu exigent bon niveau de vocabulaire et de structure narrative mais qu'en réfléchissant en terme de policier poler ou thriller - le style doiven être populaire et qu'une expresssion et un vocabulaire populaire se justifie si on l'argumente.
- intéressant au niveau lien à l'artiste
On pourrait penser dasn les thèmes à un raprichament à l'excellent Tableau du Maître flaman de Perez Reverte mais avec moisn d'exactitude sur restauration renovation en matière d'art......
Quant à la comparaison avec le livre précédemment chroniqué moins bien foutu en terme d'analyse de tableau ou interprétation. Dans le jardin des délices au moins on peut lire une interprétation du tableau - sensible qui plus est- et à du détail.... à des éléments sur l'artiste. Dans ce livre rien à part à lapage 69 le fait qu'il existe un tableau plus mystérieux du même artiste (donc le Titien dont on ne nous pas grand chose dans le rooman) L'homme au gant.
J'ai vu
28 jours plus tard
un film assez terible - bien plus que le livre Je suis une légende où le héros est le seule non vampire - monde post apocalyptique via virus....
En lecture
le peuple des Cygnes - sf anticipation et post apocalyptique jeunesse
et toujours le Gaiman